BLOGUE

Voici le troisième article d’une série de cinq dans laquelle chacun dévoile une stratégie pour aider un gestionnaire d’équipe aguerri à faire face aux défis de la diversité à travers ses différents visages (personnalités, cultures, générations).

Tirer parti de la diversité culturelle est un choix

Devant la diversité des origines culturelles, un choix s’impose : succomber à la peur des différences ou tirer parti de la richesse issue de ces mêmes différences. Ceux qui succomberont à la peur vont se concentrer sur ce qui les sépare et les différencie, et vont opter pour la facilité des équipes homogènes. Les autres, ceux qui croient en cette richesse, vont plutôt cultiver la curiosité parmi les membres de leur équipe diversifiée, l’entraînant ainsi sur de nouvelles voies jusqu’alors inimaginables.

S’ouvrir aux différences culturelles n’implique pas de renier l’existence même de différences et prétendre que nous sommes tous pareils, car réalistement, des différences, il y a en a! Pensons à la notion du temps, de l’espace ou du rapport à la hiérarchie, par exemple. Comment composer avec un individu pour qui le temps est élastique lorsque vous avez des horaires fixes? Avec la personne qui dit toujours oui en hochant la tête même si elle est en désaccord avec vous? Comment? En affirmant vos valeurs de leader dans le respect des personnes. Une communication interculturelle efficace passe par l’écoute, le recadrage et l’affirmation des valeurs fondamentales qui unissent votre équipe.

La peur ou l’ouverture? L’ouverture est le choix privilégié du gestionnaire d’équipe des temps modernes, curieux des cultures différentes de la sienne et affirmatif de ses valeurs de gestion.

Vous avez manqué les derniers billets de la série?

# 1: La culture d’entreprise : centrale pour attirer, unir et retenir les employés. Lisez-le ici.

# 2: Faire des différences de personnalité la force de son équipe. Lisez-le ici.